Fares, la Bête Algérienne – 30 cm de pur carnage

Fantaisie Beur Gay : Youssef, Taxi Rebeu à Paris

Paris après minuit, c’est une autre planète. Les rues brillent sous la pluie, les néons clignotent sur l’asphalte trempé, et la ville transpire la fumée, la sueur et la tension. C’est ce Paris-là que Youssef connaît. Pas les touristes autour de la Tour Eiffel — mais les ruelles sombres, le périph, les vrais bails. Youssef, c’est un taxi. Kabyle. Crâne rasé, barbe propre, épaules larges sous un blouson en simili noir. Dans sa bagnole, ça sent le tabac et la sueur — la sienne et celle des passagers — et dans ses yeux, y’a écrit : me cherche pas si t’assumes pas.

Un mercredi soir, Gilles monte dans sa caisse. Un blanc bien sapé, la trentaine, costard bleu, parfum lavande, et ce regard — celui qui traîne trop longtemps dans le rétro. Youssef le capte direct. Le genre qui a jamais mis un pied dans une mosquée mais qui rêve de sucer un rebeu dans une Peugeot. Une vraie scène de rebeu gay. Mais Youssef, lui, il fait pas dans la précipitation. Il parle pas. Il attend.

Tension Silencieuse dans le Taxi

« Rue Saint-Maur », murmure Gilles, voix basse, comme un secret. Jambes croisées, mains serrées sur sa sacoche. Mais Youssef voit très bien comment ses yeux descendent sur la bosse sous son jogging. Et ce soir-là ? Youssef porte pas de caleçon. Juste un bas de survêt gris. Zéro barrière.

La caisse glisse sur les pavés mouillés comme un requin. Pas de musique. Juste les souffles. Youssef le lâche pas du regard. Au feu rouge, il se retourne doucement, une main sur le volant. « T’aimes les rebeus ? » voix grave, froide. Aucun sourire.

Gilles avale sa salive. Il hoche la tête — petit, soumis. « Ouais… j’aime le sexe avec les beurs. »

Scène Beur Gay : Des Mots aux Actes

Le feu passe au vert. Mais Youssef bouge pas. « Monte devant. »

Gilles obéit comme un bon petit soumis. Il grimpe par-dessus les sièges, les genoux tremblants. Il regarde Youssef comme un élève prêt à se faire corriger. Et Youssef ? Il l’attrape par la nuque, fermement. « T’as déjà sucé dans une voiture en marche ? »

« Jamais », gémit Gilles.

« Maintenant si. »

Youssef descend la fermeture de son jogging et sort sa queue épaisse. Déjà mi-dure, veineuse, pas circoncise, l’odeur brute du mâle. Gilles hésite pas. Sa bouche avale le gland comme un crevard. Le taxi roule tranquille pendant que Gilles grogne, bouche pleine. Youssef garde une main sur le volant, l’autre sur sa tête, imposant le rythme. Pas d’amour ici. Juste de la domination — un moment cru qu’on retrouverait direct dans une beur gay vidéo bien crasse.

Paris Sale, Désirs Encore Plus Sales

Ils s’arrêtent dans une ruelle sombre vers Belleville. Youssef pousse sa tête loin de sa bite. « Descends », il ordonne.

« Ici ? »

« Maintenant. »

L’air est froid. La pluie coule du toit. Youssef plaque Gilles contre le capot, lui baisse le pantalon, sans lubrifiant, sans avertissement. Juste de la salive et de la rage. Il crache dans sa main, enduit le trou, et le pénètre d’un coup sec. Gilles hurle. Fort. Mais personne vient. C’est Paris. Tout le monde s’en bat.

Youssef le démonte, chaque coup résonne dans la ruelle. « Tu voulais du sexe beur ? » il crache à l’oreille. « Voilà la réalité rebeu gay, sale petit porc. »

Rebeu Power, Zéro Pitié

Gilles tremble. Pas de peur. De plaisir. Il s’est jamais fait prendre comme ça. Brut, sale, par un rebeu qui demande pas la permission. La bite de Youssef massacre son cul, le fait supplier. « Encore… s’il te plaît », gémit-il.

Youssef le retourne, l’embrasse une fois — lèvres sèches — puis le re-pénètre avec un grognement. Gilles enroule ses jambes autour de sa taille, prêt à se faire utiliser comme un trou dans une backroom beur gay. La pluie s’intensifie. Ils s’en foutent. Youssef le remplit, grogne, et s’approprie chaque centimètre de son corps blanc.

Le Giclement Inoubliable

Gilles jouit sans se toucher. Juste avec la cadence, la douleur, la soumission. Youssef n’en a pas fini. Il se retire, se branle violemment, et gicle partout — ventre, visage, torse. Il le marque. Comme un tag dans le 93 — maintenant, c’est à lui.

Il remonte son jogging, allume une clope, balance un mouchoir. « Nettoie-toi. »

Silence total.

Retour dans le Taxi : Dernier Tour

Gilles remonte à l’avant. Rouge, trempé. Il parle pas. Youssef le ramène à Rue Saint-Maur. Gilles sort un billet. Youssef le refuse.

« Tu me payes pas », dit-il. « Tu me dois. »

Il redémarre sans un mot, laissant Gilles debout, tremblant, le sourire aux lèvres, comme un mec qui vient de renaître.

Rebeu Gay dans Chaque Souffle

Youssef fait pas ça souvent. Mais quand il le fait ? Ils s’en souviennent. Comme une rebeu gay vidéo que tu regardes en boucle. Taxi la journée — mais la nuit, il devient autre chose. Un fantasme. Un fauve. Un roi beur qui prend sa couronne entre les cuisses de ceux qui cherchent à se soumettre.

Il filme pas. Il a pas besoin. Le souvenir suffit. Et peut-être, juste peut-être, que Gilles rentrera chez lui et tapera « beur gay taxi Paris » dans son navigateur, en espérant retrouver ce frisson. Mais non. Y’a qu’un seul Youssef.

Héritage d’une Nuit

Gilles devient accro. Il s’habille différemment, parle plus cru, cherche ce truc-là. Il veut le goût du tabac, de la sueur. Le claquement d’une portière. Le poids d’une bite kabyle dans la gorge. Youssef le recadre. Encore. Et encore. Toujours en silence. Toujours à sa manière.

Chaque session, plus sale, plus violente. Du vrai beur gay pur jus. Parking de mosquée, zone industrielle à Saint-Ouen, même une fois dans un parking souterrain pendant que la pluie cognait comme des balles. Youssef s’assure que ça marque. Longtemps.

C’est Pas une Fiction : C’est Xarabcam

Gilles essaie de revivre ça. Il engage des mecs, loue des taxis, se filme. Mais rien à voir. Ce qu’il a vécu ? C’est pas juste du sexe. C’était de la domination. Du vrai rebeu gay, brut, réel. Il balance même leur histoire sur le net. Mais Youssef le découvre — et le corrige. Encore plus fort.

Cette nuit-là se termine avec Gilles attaché dans le coffre, pendant que Youssef fume un joint en écoutant du rap kabyle à fond.

Derniers Mots : L’Énergie Beur Gay à l’État Brut

Youssef se fout de la célébrité. Des vues. Lui, il aime briser les petits blancs qui se croient au-dessus. Et dans le silence de son taxi, entre les murs mouillés de Paris, les gémissements et les claques sont sa bande-son.

C’est pas du porno. C’est la vraie vie. Sale, chaude, inoubliable. Comme ta beur gay vidéo préférée.

Et si un jour tu montes dans un taxi après minuit, et que le rebeu au volant te regarde comme s’il lisait dans ton âme — ferme ta gueule. Ou ouvre-la. Ton choix.