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Kabir était appuyé contre la porte du métro, les bras croisés, son regard perçant scrutant la rame. Il n’avait rien à dire, son aura de mâle rebeu gay parlait pour lui.
En face, un jeune blanc fragile le matait discrètement, mordillant sa lèvre, incapable de détacher ses yeux.
Kabir esquissa un sourire. Il connaissait ce regard.
Le métro ralentit. Kabir avança d’un pas, frôlant volontairement l’épaule du mec. « T’arrêtes pas de me mater. T’as un truc à dire ? »
Le mec rougit, sa voix tremblante. « J… j’aime les Arabes. »
Kabir haussa un sourcil. Ce soumis était déjà prêt.
Quelques minutes plus tard, la porte de son appart claqua derrière eux. Kabir attrapa son invité par le col, le plaquant contre le mur, sa bouche effleurant son oreille.
« Tu veux sentir un vrai mâle rebeu ? » souffla-t-il.
« Oui, monsieur, » haleta le soumis.
Kabir le retourna d’un coup sec, baissant son jean en un geste brutal. Son gros calibre d’actif algérien frottait déjà contre son entrée.
« Pas de lubrifiant. Pas de capote, » grogna Kabir en le pénétrant d’un coup sec. « T’apprends ce que c’est, une vraie queue de rebeu. »
Le mec gémit sous l’impact, son corps plaqué contre le mur.
Kabir grogna, enfonçant plus profondément sa queue rebeu gay, imposant son domination totale.
« Regarde-toi, » souffla-t-il en accélérant le rythme. « Une vraie pute soumise, offerte à son maître arabe. »
Le bruit des claquements de peau remplissait la pièce, les gémissements du soumis se transformant en cris de plaisir.
Kabir ne ralentit pas. Il voulait lui faire comprendre qu’il appartenait désormais à un mâle rebeu.
D’un dernier coup de reins violent, il lâcha un râle grave, son fluide d’actif algérien se répandant profondément.
Il se redressa, jetant un regard amusé au soumis tremblant.
« Tu veux que je t’encule, la prochaine fois ? T’as plus qu’à attendre à Bastille. »