Bilal & Chafik à Tlemcen

La nuit tombait sur Tlemcen, l’air chaud pesant sur la ville endormie. Bilal était assis sur le matelas, jambes écartées, sa queue rebeu gay déjà gonflée sous son jogging. En face, Chafik s’étira, son torse musclé brillant sous la lumière tamisée. « Pas de passifs ici. Pas de soumis, » murmura Bilal. Chafik ricana, faisant rouler ses épaules. « Alors on va devoir gérer ça nous-mêmes. » Bilal sortit sa queue d’actif rebeu, la brandissant devant Chafik. « Ouais, mais c’est moi qui baise en premier. » Chafik grogna, attrapant Bilal par les poignets et le plaquant sur le matelas. « Pas cette fois. Ce soir, c’est toi qui prends. » Bilal grinça des dents, sa dominance mise à l’épreuve. Mais quand Chafik pressa son membre rebeu épais contre lui, il frissonna sous l’excitation. « Fais-le, » souffla-t-il, écartant les jambes. Chafik cracha dans sa main, l’étalant sur sa queue d’actif algérien avant d’appuyer contre Bilal. « Pas de lubrifiant. Pas d’excuse. » Le premier coup de rein fut brutal. Bilal grogna, sentant la puissance d’un vrai mâle rebeu le dominer. La chaleur montait, leurs corps claquant l’un contre l’autre. « T’as un vrai cul de rebeu gay alpha, » grogna Chafik en accélérant. Bilal grinça des dents, sa propre queue rebeu se balançant, dégoulinante. « À mon tour après. » Chafik rit, haletant, avant de se retirer et de s’allonger. Il écarta ses cuisses, défiant Bilal du regard. « Vas-y, montre-moi ce que t’as, » souffla-t-il. Bilal ne se fit pas prier. Il attrapa les hanches de Chafik et enfonça son gros calibre rebeu gay sans prévenir. Chafik bascula la tête en arrière, grognant sous la force de Bilal. Leur virilité remplissait l’air, le matelas tremblait sous l’assaut de deux mâles rebeu en manque. Les râles montèrent en intensité. Aucun ne voulait céder, chacun cherchant à imposer sa domination. Quand ils jouirent, leurs torses ruisselaient de sueur, leurs queues d’actifs rebeu gay pulsant sous le plaisir brut. Chafik sourit en reprenant son souffle. « On dirait que t’as aimé. » Bilal rit, lui donnant une tape sur la cuisse. « Prochain round, c’est moi qui commence. »